En emménageant dans mon appart à Nantes il y a deux ans, ma poubelle de cuisine puait l’enfer—épluchures de légumes tous les jours. Le compostage, je voyais ça pour les jardiniers chics, pas pour moi dans 40m². Mais avec 10 millions de tonnes de déchets jetés en France chaque année, j’ai tenté, et c’est une révolution. Voici comment je m’y suis mis, pas à pas.
J’ai pris un bac Joseph Joseph Compo 4L ici [lien] (lien affilié—ça garde mon blog au soleil !) pour mon plan de travail. Le filtre à charbon tue les odeurs—vital dans ma petite cuisine. J’y mets épluchures de carottes, marc de café, coquilles d’œufs—pas de viande ni fromage, sinon bonjour les mouches.
Dehors, j’ai un gros bac dans la cour—acheté pas cher chez Castorama. Pas de jardin ? Un lombricomposteur marche en intérieur, ou checkez les points de compostage de votre mairie (Nantes en a !). J’alterne mes restes avec des « bruns »—vieux journaux Le Monde déchiquetés ou feuilles du parc. Je remue chaque semaine—c’est dingue de voir ça devenir de la terre noire.
Mon basilic adore maintenant, et ma poubelle a réduit de moitié. Petit hic : un mois pour arrêter de psychoter sur ce que je mets—restez simple, ça roule. Bonus : le « thé de compost » (le jus qui coule) booste vos plantes—un vrai super-aliment.Pas d’excuse avec un petit espace—c’est plus facile que ça en a l’air. Testez le thé de compost, c’est magique !